Comment j’ai sauvé mes cheveux

Bonjour les beautés.

Aujourd’hui, c’est de ma tignasse dont nous allons parler. Mes cheveux au naturel, c’est Bagdad! Ils sont épais, volumineux et ultra frisé. Autant vous dire que je n’ai jamais trouvé de solution pour les mettre en valeur sans sèche cheveu ou fer à lisser. Cela fait donc plusieurs années que je les lisse après chaque shampoing.

Fut un temps, j’étais presque contente de me retrouver avec une perruque sur le pantalon après chaque lissage. J’en avais tellement… Je me disais même que si je les conservais suffisamment longtemps, je pourrais peut être les réimplanter un jour sur la crâne de mon chéri qui se dégarnit dangereusement.

Il y a quelques mois, à la place de ma couleur trimestrielle, j’ai décidé de me faire une super tie and dye. Alors oui c’est beau mais ahah c’est une décoloration. Qui dit décoloration dit cheveux secs, cassants et fourchu. Pour être honnête, je n’avais jamais décoloré mes cheveux avant. Je me doutais bien qu’ils n’apprécieraient pas mais je n’imaginais pas que ce serait aussi catastrophique. Ils étaient tellement cassants qu’ils décoraient ma belle veste noire.

Je déteste les voir souffrir autant mes petits bébés mais faut pas déconner, les cheveux au ras du coup, c’est pas pour moi. Avant le coup de ciseau, j’ai donc fait un million de recherche pour trouver le produit miracle qui réussirait à sauver mes cheveux. Je suis d’abord tombée sur l‘huile de coco qui est décrite comme miraculeuse. Malheureusement, je n’en ai trouvé que sur iherb mais je venais tout juste de recevoir mes pop corn au cheddar c’estbonpourlemoral. J’ai donc poursuivi mes recherches sans grand succès.

Je me suis finalement tournée vers ma parapharmacie et vers le rayon Leonor Greyl. J’ai souvent entendu parler de ces produits et principalement de l’huile de palme mais j’ai toujours eu du mal à sortir 30 euros pour une huile. J’ai donc demandé conseil à la vendeuse qui m’a expliqué qu’elle avait était reformulée. Bon point pour Leonor. Non pas que ça me dérangeait mais ça prouve bien que c’est une marque qui vit avec son temps. Après plein de blabla, je me suis donc décidée à l’acheter et grand format ( il existe une petite trousse de voyage contenant entre autre l’huile de Leonor Greyl ) avec l’espoir qu’elle redonne vie à la paille qui me servait de cheveux mais aussi en prévision des vacances parce que non, alarme, eau salée + soleil ne font pas bon ménage capillairement parlant.

 

Au niveau de la composition, cette huile contient entre autre de l’huile de Coprah, issue de l’amande de noix de coco de l’huile de Mongongo, extraite de la noix d’un arbre africain, qui possèdent toutes deux des vertus hydratantes, régénérantes et protectrices. 

Le soir même, j’étais juste hyper pressée de la tester. C’est une huile qui se solidifie au delà de 25 degrés. Je passe donc le flacon sous l’eau chaude pour la liquéfier.

J’ai lu beaucoup de posts à son sujet qui la décrivaient comme très grasse et difficile à rincer. Cela doit probablement dépendre de la nature du cheveux mais aussi de la quantité utilisée. Pour des cheveux mi-long, une demie cuillère à café suffit amplement. Il ne faut pas surcharger le cheveu d’huile aux risques, effectivement, soit de se taper 85 shampoings d’affilé, soit de se retrouver avec une crinière plus que poisseuse.

 

Elle s’applique au minimum 15 minutes avant le shampoing mais, vu la calamité capillaire, j’ai plutôt opté pour un masque de nuit. Pour optimiser son efficacité, je me suis emballée dans du papier aluminium #pannedecellophane. Vous imagiez bien le sketch… Mon pauvre chéri n’a pas dormi de la nuit à cause du bruit.

Le lendemain matin, après 2 shampoings, une pause de Rafistoleur de chez Lush et un petit coup de sèche cheveux, j’ai juste redécouvert mes cheveux. Ils étaient brillants,disciplinés. Les pointes lissées et nourries me criaient merci! Bye bye les fourches. Après le lissage, même constat: ils étaient en pleine forme.

Il n’en faut pas plus pour me convaincre. Depuis, je le crie haut et fort: Je fais des bains d’huile!!

Mais ce n’est pas tout: cette huile contient une protection solaire. Il est donc conseillé d’en utiliser avant les longues expositions, les bains de mer ou de chlore.

Je ne manquerais pas de vous tenir au courant quant à son efficacité pendant la période la plus rude de l’année pour nos cheveux.

L’huile de Leonor Greyl est dispo ici à 32,10 euros

P.S.: Si vous connaissez des sites ou magasins commercialisant l’huile de coco, je suis preneuse 🙂

Connaissiez vous l’huile de Leonor Greyl? Quels sont vos produits préférés pour prendre soin de votre crinière?